Le visage de cette pièce joaillère s’est peu à peu éveillé dans le sillage du sertisseur. Sous ses doigts experts, les pierres –en tout, 652 !- ont d’abord composé la partition du cadran, avant de venir se fondre sur le boîtier de 16.3 mm en d’ondoyantes courbes.
Pour souligner le caractère aérien et léger de ce garde-temps mu par un calibre quartz devenu bijou, l’artisan a fait naître de subtils jeux de relief en laissant de fins entrelacs d’or vierges de tout sertissage. Puis est venu le temps du bracelet.
Sur un canevas d’or blanc, l’homme a poursuivi son patient travail en sertissant avec une précision infinie pas moins de 388 diamants, en les réajustant encore et encore, jusqu’à ce que le bracelet devienne son prolongement parfait. Une pièce de toute beauté.