« Nous voulions faire une montre pure et élégante » indique Felix Baumgartner, maître-horloger et co-fondateur de la marque. « Nous avons déjà par le passé réalisé des montres complexes, relevé des défis techniques ardus, nous avons fait se mouvoir des aiguilles géantes, nous sommes allés aux limites de ce que la micro-technologie pouvait concevoir mais j’avoue que nous avons eu un peu le trac avant de nous lancer dans ce nouveau défi. Imaginer une nouvelle Urwerk, repousser une nouvelle limite, nous savons faire mais parler des femmes aux femmes, voilà qui est totalement différent ».
La UR-106 « Lotus » existe en deux versions, l’une en titane et acier serti de diamants sur la lunette, la couronne et la boucle ; l’autre en titane et acier traité PVD noir et sertie de diamants noirs également. « Nous avons opposé les deux faces d’une même pièce. La lumière d’un côté et son côté obscur de l’autre » indique de son côté Martin Frei, designer et co-fondateur de la marque. Une sorte de Yin et Yang
Cette nouvelle Urwerk affiche une heure satellite revisitée. Trois satellites portant chacun 4 index des heures défilent le long du chemin des minutes pour indiquer le temps de façon analogique et digital. Une phase de Lune vient parachever l’œuvre.